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Dans tes rêves

Poeme40

Nouveau poète
#1
Dans tes rêves !!!



Tu pensais que j’étais un gland, tu pensais que j’étais comme avant ;
Tu t’es trompé,
Tu pensais que j’allais me l’affermer, tu pensais que j’allais pas te balancer ;
Tu t’es trompé,
Tu pensais me la piquer, tu pensais y arriver ;
Tu t’es trompé,
Tu pensais pouvoir me taire, tu pensais pouvoir le faire ;
Tu t’es trompé, tu t’es toujours trompé, à mon sujet,
Quand tu as trafiqué mon nic-scé, quand tu as tenté de me tuer ;
Tu t’es trompé,
En me disant que tu ne voulais pas m’abandonner, en disant que tu m’aimais ;
Tu m’as blefet,
Quand tu m’as proposé de faire mes bagages, quand tu m’as proposé de partir en voyage ;
Tu m’as blefet,
Quand tu m’as dit shuis désolé, quand tu m’as dit de te pardonner ;
Tu m’as blefet,
Quand tu m’as dit que l’on était beau, quand tu m’as dit que l’on n’avait pas d’égaux ;
Tu m’as blefet, tu m’as toujours blefet, à mon sujet,
Quand tu m’invités au ciné, quand tu m’invités à dîné ;
Tu m’as blefet,
Quand tu m’as encouragé, a ce que je passe mon brevet ;
Tu m’as pris pour un con,
Quand tu m’as dit reviens, quand tu m’as dit que t’avais du chagrin ;
Tu m’as pris pour un con, tu m’as toujours pris pour un con, à mon sujet ;
Quand tu m’as dit je regrette, je ne suis pas encore prête ;
Tu m’as pris pour un con,
Quand on est rentré dans cette boîte, quand ils ont mit les watts vers oi’t ;
Ta voulu me faire tombé,
Quand ils m’ont obligés a dillé, sinon c’était toi qui devait en consommé ;
Ta voulu me faire tombé,
Quand tu m’as supplié, quand j’ai accepté,
Tu m’as fait tombé,
Quand je te faisais la gueule, au sujet de ta meule ;
J’ai commencé à te comprendre,
Quand tu m’as dit vient on va volé, quand tu m’as dit il peut rien nous arrivé ;
Je tes grillé,
Quand tu m’as dit que ton père était policier, et que d’toute manière il nous défendrait ;
Je tes grillé,
Maintenant j’suis convaincu, que tes vraiment une grosse te-pu ;
Je me relève, en me disant pourvu que tu crèves, que ta vie soit brève ;
Par pitié,
Ce n’est même plus là pêne,
De me supplié,
Pour que je revienne.
Oh ! Non, non.
D’abord ça a commencé par des soupçons,
Après par des discussions,
Ensuite par des révélations,
Mais surtout par des calculs,
Pourvu que l’on t’encule,
Un jour,
A ton tour,
Pour ce que tu m’as fait,
Je me vengerais,
En révélant qui tu es,
A ton père,
Sans oublier qu’il est sévère…
Il te laissera dans le noir,
Tu seras obligé de faire le trottoir,
Voir la manche,
Même le dimanche,
Pour te mettre quelques chose sous la dent,
Et tu te rappelleras de nos bons moments,
T’auras la haine,
Et de la peine,
Rien que d’y penser,
Le pire,
C’est que tu pensais que j’allais pas m’en sortir,
Plutôt mourir qu’ te dire merci.